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---------------------------- À LIRE ET RELIRE

L’élection d’un pape jésuite signifie donc deux choses, qui sont complémentaires :
- La Couronne Britannique et ses Jésuites sont en train de toucher au but ultime de toutes leurs manigances, ils pressentent l’achèvement d’un plan élaboré sur près d’un demi-millénaire. Confiant en leur réussite prochaine, ils osent aujourd’hui se présenter au grand jour.
- Nous sommes actuellement en train de passer de l’ancienne religion mondiale (le catholicisme) à la nouvelle religion mondiale. Pour opérer ce passage difficile, les Jésuites ont besoin d’un homme parfaitement sûr, obéissant «comme un cadavre» aux instructions de l’Ordre. Pour cela, Benoît XVI ne pouvait bien sûr pas convenir. Il leur fallait un des leurs, observé depuis sa jeunesse et dressé comme il faut par des années d’«exercices spirituels».

("Le Silence") sur l'attitude de l'Église catholique argentine durant les années noires.
Il y raconte en particulier comment, après le coup d'État du 24 mars 1976, les prêtres ouvriers, dits "tiers-mondistes" car engagés sur le terrain auprès de la population pauvre, vont être persécutés par la junte militaire. L'un des cas les plus connus fut l'enlèvement, la torture puis le meurtre par les militaires de deux religieuses françaises, Léonie Duquet et Alice Domon. Leur crime ? Aider les premières "Mères de la place de Mai" à chercher leurs enfants. À l'époque âgé d'une quarantaine d'années, Jorge Bergoglio officie à la Compagnie de Jésus dans son quartier natal et pauvre de Bajo Flores. Là, seulement un mois après le coup d'État, des agents de la marine argentine enlèvent deux jésuites, Orlando Yorio et Francisco Jalics, qui travaillent sous son autorité. Ils seront torturés durant cinq mois avant d'être relâchés et de s'exiler.
"Oh ! mon Dieu !"
("Le Silence") sur l'attitude de l'Église catholique argentine durant les années noires.
Il y raconte en particulier comment, après le coup d'État du 24 mars 1976, les prêtres ouvriers, dits "tiers-mondistes" car engagés sur le terrain auprès de la population pauvre, vont être persécutés par la junte militaire. L'un des cas les plus connus fut l'enlèvement, la torture puis le meurtre par les militaires de deux religieuses françaises, Léonie Duquet et Alice Domon. Leur crime ? Aider les premières "Mères de la place de Mai" à chercher leurs enfants. À l'époque âgé d'une quarantaine d'années, Jorge Bergoglio officie à la Compagnie de Jésus dans son quartier natal et pauvre de Bajo Flores. Là, seulement un mois après le coup d'État, des agents de la marine argentine enlèvent deux jésuites, Orlando Yorio et Francisco Jalics, qui travaillent sous son autorité. Ils seront torturés durant cinq mois avant d'être relâchés et de s'exiler.
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